Jul 3, 2014

Nos partenaires



L’Association « Dibure-Ngudji », structure à caractère humanitaire et agricole de la Commune de Tchibanga (sud-ouest) a fêté samedi dernier ses 7 ans d’existence. Le président de cette association à caractère humanitaire et agricole de la Nyanga, Jean François Koumba Mabicka, a fait le bilan des actions menées sur le terrain avec les 195 membres qui composent ladite association.
Cette organisation qui œuvre dans les domaines de l’entraide et de l’agriculture axe la nouvelle année sur trois priorités à savoir: la pratique de l’élevage, l’ouverture des ateliers de couture et la mise en place des plantations de bananes au village Nzienzili situé à 12 kilomètres de Tchibanga.
L’occasion a également permis aux membres de promouvoir la structure tout en invitant les population en vue d’un développement efficient de la localité.


 
Mise en place des coopératives agricoles dans la Dola
MOUILA (AGP) - Un programme de mise en place des sociétés de coopératives agricoles a été lancé dans le département de la Dola dans la province de la Ngounié (sud), à l’initiative du président directeur général de « Bio’Arts et service », Jean-Serge Mapangou et de la présidente de l’Association pour le développement de la Dola »Murim », Edith Massounga De Langlade, a appris vendredi de sources concordantes.


Selon la source, ce programme a été lancé par les villages Loufouma, Moudjombi sur le tronçon menant à la frontière avec le Congo Brazzaville et Itough-Y-Miyami.
Pendant deux jours, Jean Serge Mapangou, expert en Qualité, hygiène et sécurité environnementale (QHSE) puis en Economie sociale et commerce équitable (ESCE) et Mme Massounga De Langlade ont apporté des connaissances aux agriculteurs afin qu’ils se regroupent en associations, mieux ils auront la synergie dans la production, surtout pouvoir se rendre autonomes.
L’expert en QHSE qui s’appuie sur la loi de l’OHADA (Organisation pour l’harmonisation en Afrique du Droit des Affaires), du fait qu’elle vise entre autre le développement de l’activité économique et la promotion de l’arbitrage comme instrument de règlements des différends contractuels, souhaite donc mettre en place une trentaine d’organisations de l’économie sociale au niveau du cru, voir leur évolution et espérer atteindre le territoire national. Le but est la revalorisation de l’agriculture dans le développement local.


Déjà, près d’une cinquantaine d’associations regroupées au sein de l’association « Murim » dans la Dola ont été au rendez-vous. D’ailleurs, pour Mme Massounga De Langlade, ’’cette organisation vient à point nommé dès lors qu’elle vise à lutter contre la pauvreté en zone rurale, facilite l’autonomisation de toutes les couches sociales et c’est en cela que les gens retrouvent leur dignité’


DOLA EVEIL ECONOMIQUE
"DOLA EVEIL ECOLOMIQUE" est une association de vulgarisation et de la protection
de la Biodiversité Gabonaise.
Description
L’association a pour objectifs :
• L’étude de la biodiversité (faune et flore), sa protection et l’amélioration de l’environnement et du cadre de vie en milieu urbain comme rural ;
• Favorisé les échanges entre l’Afrique et l’Europe ;
• Le regroupement et la représentation des associations ayant un lien étroit avec la protection de la nature et de l’environnement, pour leur permettre d’œuvrer conjointement au niveau régional ;
• Promouvoir l’accès des citoyens à l’information, l’exercice des droits civiques et la participation de chacun dans les décisions le concernant, notamment celles relatives à l’environnement et au cadre de vie ;
• Lutter contre les pratiques commerciales abusives et la protection des biens et services nuisibles à l’Homme et l’environnement ;
• La modification des comportements individuels dans le sens d’une plus grande solidarité et d’une prise en compte de l’environnement ;
• La mise en place des pratiques alternatives favorables à l’environnement, notamment l’utilisation des énergies renouvelables et des ressources naturelles ;
• La prise en compte des impératives liés à la protection de l’environnement, à la démocratie et au progrès social, culturel, économique, dans toutes les décisions des acteurs économiques publics ou privés, notamment dans le cadre des contrats et marchés publics.

 Association Muyissi
MOUILA (AGP) – L’Organisation non gouvernementale « Muyissi » a organisé samedi à Mouila (sud), une opération de lutte contre l’insalubrité, procédant au nettoyade du marché central de la localité avec le soutien des clubs environnementaux de quelques établissements scolaires.

Munis des pelles, râteaux, machettes et brouettes, les membres de « Muyissi environnement » et les jeunes des établissements secondaires, notamment ceux de la coopérative du collège Saint Gabriel et lycée public Jean-Jacques Boucavel (LPJJB) se sont déployés dans tout le marché situé dans le premier arrondissement, se débarrassant des ordures, mauvaises herbes, de nombreux sachets et autres détritus à l’origine de l’insalubrité.

L’opération a été conduite par le secrétaire général de « Muyissi environnement », Jean Christophe Mbina. Au cours de cette opération, il a sensibilisé les commerçants de ce plus grand marché de la ville sur l’état d’insalubrité qui s’y installe chaque jour. ’’L’insalubrité est une affaire de tous, nous devons mener des actions de lutte communes’’.

Cependant, si les commerçants ont salué cette action à laquelle les a déjà habitués cette jeune ONG, ils ont dit regretter le manque d’action hebdomadaire de la part de la municipalité concernant le nettoyage dudit marché. Alors que depuis deux ans, l’ONG « Muyissi environnement » interpelle les autorités municipales sur le ramassage des ordures dans les marchés de la commune et leur entretien.

En revanche, « Muyissi » souhaite que le premier magistrat de la ville, Christian Kombila Kombila trouve un endroit approprié pour recevoir la décharge publique qui, jusqu’à ce jour, n’est pas encore déterminée. Malgré la nonchalance de la municipalité, le maire de la ville a motivé les membres de « Muyissi » en leur offrant des sandwiches et rafraîchissements après l’opération d’insalubrité.

’’C’est notre modeste participation, mais à l’avenir, je vous promets une meilleure collaboration’’, a déclaré le maire Kombila Kombila.

Créée en 2008, « Muyissi environnement » est une ONG locale qui milite pour la préservation de la nature, l’écotourisme et la lutte contre l’insalubrité. Chaque année, cette jeune structure qui vient d’obtenir son récépissé (en avril dernier) mène plusieurs actions autant à Mouila que dans quelques autres localités de la province.

LDN/JPM/IM

Nzale Dimbu
06/06/2010
NDENDE (AGP) – La fin de l’année scolaire au lycée Paul-Marie Yembit de Ndendé a été couronnée samedi dernier par la remise des prix offerts par l’ONG « Nzale Dimbu », amour du village en langue Ipunu, parlée dans le sud du Gabon aux meilleurs élèves dudit établissement en présence des autorités locales, notamment le préfet du département de la Dola, Delphin Mouity Yembit, du maire de la commune, Dieudonné Ibiatsi (ancien élève du lycée) et des parents d’élèves.

C’est environ plus de deux cents lots qui ont été distribués au cours de cette cérémonie organisée dans l’enceinte du lycée. Les prix d’excellence ont été obtenus par une vingtaine d’élèves de la 6ème en 2nde.

Le premier prix d’excellence est revenu à l’élève de 5ème, Jospin Mabicka Mabicka, avec une moyenne annuelle de 14,33, suivi de Brel Mongo Assiana de la classe de 6ème avec 13,71 et en troisième position l’élève Florian Césaire Ibouili de la classe de 4ème avec 13,65.

Outre les prix de l’excellence, une vingtaine de prix d’honneur ont été également distribués, ajoutés aux récompenses dans chaque matière. Avant la remise de ces distinctions, deux allocutions ont été prononcées, celles du proviseur et du président de l’ONG « Nzale Dimbu ».
Le proviseur, Ernest Pambou s’est dit satisfait du geste et a encouragé les membres de cette jeune ONG à continuer d’œuvrer dans cette voix. Aussi, en a-t-il profité pour lancer un appel à l’endroit des élèves d’être reconnaissants des actes posés par les membres de « Nzale Dimbu », composés essentiellement des anciens élèves du lycée et fils originaires de Ndendé.
’’C’est louable ce qu’ils font et je vous invite à suivre leurs pas pour que demain vous en fassiez autant’’, a-t-il dit.

Pour sa part, le président de « Nzale Dimbu », tout en remerciant le proviseur et les autorités locales pour leur accueil, a adressé des sages conseils aux élèves qu’il a invités à plus de travail, de concentration dans les études, mais aussi à mieux respecter les parents, aimer, aider dans la mesure du possible.

’’Vous êtes l’élite et l’espoir de demain. Ne vous laissez pas distraire par la boisson, la cigarette qui causent les maladies, mais consacrez l’essentiel de votre temps à des activités saines tels que le sport, la lecture ou la pêche’’, a-t-il ajouté.
Jean Claude Kombila, également enseignant au département d’Etudes ibériques à l’Université Omar Bongo s’est engagé, au nom de l’ONG, à répondre toujours aux sollicitations de ceux qui ont la volonté de réussir, c'est-à-dire de ceux qui fournissent des efforts.

’’Nous envisageons organiser un soutien pédagogique en faveur des classes d’examen. Si nous parvenons à trouver les moyens, nous pourrons apporter notre contribution dans l’équipement de la bibliothèque du lycée’’, a-t-il promis, dans le cadre des perspectives des actions inscrites à leur programme.
Pour ces vacances déjà entamées, l’organisation de deux opérations « Ville propre », afin de contribuer à rendre salubre la ville de Ndendé a été soulignée, la mairie ne pouvant assurer l’entretien des artères seule. De même, l’idée de l’organisation d’une coupe de football en mémoire à un ancien de cette discipline, Mihindou alias « Zizi » décédé depuis pratiquement un an (a été l’un des plus grands footballeurs de sa génération que Ndendé ait connu) a été retenue.

’’C’est notre façon à nous de rendre hommage à un homme ayant porté haut le flambeau de notre département, notre province, voire de notre pays’’, a-t-il conclu.
Les parents présents au cours de cette cérémonie n’ont pas manqué d’adresser leurs félicitations aux initiateurs de cette œuvre et les ont encouragés à étendre leurs actions sur d’autres activités.

Quant aux élèves récompensés, ils ont marqué leur gratitude et promis de gagner d’autres prix l’année prochaine.

L’ONG « Nzale Dimbu » est une structure apolitique militant pour le regroupement de toutes les personnes de bonne volonté exerçant une activité à même de contribuer au rayonnement de la ville de Ndendé et des villages de son département, selon ses promoteurs satisfaits de cette première descente dans la ville de leur enfance.

LDN/JPM/IM
21/06/2010

Dibure-Ngudji

L’Association « Dibure-Ngudji », structure à caractère humanitaire et agricole de la Commune de Tchibanga (sud-ouest) a fêté samedi dernier ses 7 ans d’existence. Le président de cette association à caractère humanitaire et agricole de la Nyanga, Jean François Koumba Mabicka, a fait le bilan des actions menées sur le terrain avec les 195 membres [...]


Parcs Nationaux
Les acteurs de la conservation des parcs nationaux, notamment ceux de Waka et des Monts Birougou ont assisté jeudi à l’ouverture par le directeur technique de l’Agence nationale des parcs nationaux, John Michael Fay, à un atelier portant sur la mise en place d’un Plan de travail annuel (PTA) des Parcs nationaux, rapporte l’Agence de presse gabonaise (AGP).

Collectif d'associations Ngounie.

Après deux jours de travaux (du 3 au 4 avril 2009),les Journées de la Société Civile (JSC)organisées par le Programme de renforcement des acteurs non Etatiques(PROGREANE), antenne provinciale de la Ngounié, à Mouila (sus)ont adopté samedi une recommandation appelant les autorités locales à faire légaliser les Associations et ONG à partir des Préfecture ou du Gouvernorat. « Conscients de l’apport de la Société Civile dans le développement du pays et vu la nécessité de se mettre en réseau », les participants ont mis en place « une plateforme légale des Associations et ONG pour faciliter les échanges et instaurer un dialogue permanent dans la province de la Ngounié ».
« Mais pour cela, il faut que des facilités soient accordées aux initiateurs d’associations notamment leur légalisation sur place », a rappeler le représentant de PROGREANE, également élu président du conseil d’administration du bureau de l’antenne provinciale de la plate forme des associations et ONG de la Ngounié qui compte en son sein une coordonnatrice, un secrétaire général et son adjointe, une trésorière et son adjointe et une chargée des activités.

Agriculture
Une équipe de consultations multidisciplinaires en matière de sécurité alimentaire conduite par le Coordonnateur national adjoint du Programme spécial pour la sécurité alimentaire au Gabon (PNSA-PSSA), M Voga Moudoubou a tenu des séances de travail samedi et lundi avec les représentants des élus locaux, ainsi que ceux des associations à vocation agricole, pour constituer un document qui reflète des informations sur les nouvelles zones productives et activités à intégrer dans le PNSA.
L’Etat gabonais par le truchement de son ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et du Développement rural, s’est associé aux partenaires du développement, à savoir l’Organisation des Nations unies pour l’Agriculture et l’alimentation (FAO) et, dans le cadre de la coopération Sud Sud, la République populaire de Chine, pour faire avancer ce vaste Programme dont la finalité est d’atteindre l’ autosuffisance alimentaire.
’’Il s’agit d’installer des petits paysans pour contribuer à réduire notre dépendance alimentaire vers l’extérieur’’, a dit M Voga Moudoubou, rappelant que ’’le Gabon importe plus de 80% de son alimentation, une tendance à renverser en produisant suffisamment mais localement’’.
Donc à Mouila dans la province de la Ngounié, les représentants des élus locaux, en l’occurrence au niveau de la Commune, le maire adjoint du 2ème arrondissement, Charles Magaya Bouando et au département de la Douya-Onoye, le président du Conseil, Marcel Nzikoué puis quelques représentants des associations à vocation agricole, ont été consultés pour identifier avec d’autres personnes ressources les zones et cultures potentielles à valoriser et développer dans le cadre du PNSA, en s’assurant de la ’’disponibilité en terre cultivable’’.
’’Car, a expliqué le Coordonnateur national adjoint pour la sécurité alimentaire, les questions de sécurité alimentaire sont transversales, en ce sens qu’elles impliquent tous les partenaires pour la réussite du Programme’’. Pour M Voga Moudoubou, la sécurité alimentaire est l’association des mots « qualité » et « quantité », cela veut dire qu’ ’’il n’y a pas sécurité alimentaire lorsqu’il n’y a pas suffisamment à manger pour satisfaire les besoins de l’organisme. De même, lorsqu’on ne mange pas de bons produits (qualité), on est en insécurité alimentaire’’, d’où cet intérêt du gouvernement à l’endroit des populations paysannes.
Après la première phase de projet pilote par le PSSA qui s’achève en fin octobre en cours, le Programme national seconde pour consolider et étendre celle mise en place dès sa conception par les Nations unies, visant à aider les pays à faibles revenus ou déficits vivriers à accroître leurs production et productivité locales, en même temps pour régler le problème de la pauvreté en milieu rural.
Déjà en réunion, quelques zones cultivables ou cultivées étaient citées pour la culture des aliments tels que le manioc, tarot, l’igname, la banane, patate, canne à sucre, l’arachide, de l’élevage (moutons, bovins, volailles) ou de la pêche.
M Voga Moudoubou est accompagné dans cette mission, entre autres, d’un consultant de la FAO, M Diallo Mamadou Tolo.

No comments :

Post a Comment